125th Assembly and related meetings

Bern, 16-20 October 2011

 

PANEL-DISCUSSION

on

REDISTRIBUTION OF POWER, NOT JUST WEALTH: OWNERSHIP OF INTERNATIONAL AGENDAS

 

 

                                                                                                            Deputy Ionel PALÃR                               

                                                                                                    Romanian Inter-Parliamentary Group

 

 

Dear Mr. President,

Dear colleagues,

 

 

Thank you for the opportunity to take the floor.

 

The distribution of wealth and power within society usually affects a person’s opportunities to achieve full human rights and live a life with dignity. This activity involves the distribution of wealth.

 

In a changing world we want the EU to become a sustainable and inclusive economy. These  three mutually reinforcing priorities should help the EU and the Member States deliver high levels of employment productivity and social cohesion.

 

Concretely the Union has set five ambitious objectives – on employment, innovation, social inclusion and climate/energy – to be reached by 2020. Each Member State has adopted its own national targets in each of these areas. Concrete actions at EU and national levels un derpin the strategy.

 

The National Sustainable Development Strategy of Romania 2013-2020-2030 offers either the general plans and thematic or sector-specific programmes in accordance with the common objectives outlined in the EU Sustainable Development Strategy and the Lisbon Strategy, while following the methodological guidelines of the European Commission.

 

The Romanian objectives on short, medium and long time are: Horizon 2013: To incorporate the principles and practices of sustainable development in all the programmes and public policies of Romania as an EU Member State. Horizon 2020: To reach the current average level of the EU countries for the main indicators of sustainable development. Horizon 2030: To get significantly close to the average performance of the EU Member States in that year in terms of sustainable development indicators.

 

Efforts to meet the European norms and standards on the quality of life should be pursued together with the revival of traditional occupations and ways of life in a modern setting, especially in high areas and wetlands.

 

Thank you for your attention.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RÉUNION-DÉBAT

 

sur le thème

 

L’accès à la santé, un droit fondamental :quel rôle les parlements peuvent-ils jouer

pour garantir la santé aux femmes et aux enfants ?

 

 

ÉLÉMENTS DE DISCUSSION

 

                                        Sénateur Tiberiu GÜNTHNER

                                     ROUMANIE

 

 

 

Monsieur le Président,

Mesdames et Messieurs,

 

 

J’aimerais commencer en félicitant vivement nos collègues rapporteuses pour le document complet et détaillé qu’elles ont élaboré.    

 

Il est important de souligner que l’accès des femmes et des enfants à des soins de santé est non seulement un droit inaliénable, mais aussi un élément essentiel dans la lutte contre la pauvreté et l’inégalité, voire une condition sine qua non pour atteindre tous les Objectifs du Millénaire pour le Développement.

 

Mon intention est de vous faire part de mon expérience en tant que membre de la Sous-commission pour la population et le développement, établie au sein de la Commission pour la santé publique du Sénat de la Roumanie.

 

Pour ce qui est des activités législatives, budgétaires et de contrôle parlementaire, l’une de nos priorités au niveau de la Commission est la mise en pratique du Programme national pour la santé de la femme et de l’enfant.

 

Cela signifie: un accès accru aux services génésiques et une qualité meilleure de ces services; la régionalisation des soins périnatals pour les nouveau-nés vulnérables; le screening périnatal des maladies à potentiel invalidant; une nutrition meilleure des femmes enceintes et des enfants; le dépistage précoce et  la prévention secondaire des complications associées à certaines maladies chroniques chez les enfants.   

 

À son tour, la Sous-commission pour la population et le développement, en tant que telle, s’est assumé trois rôles-clé, qui correspondent aux recommandations faites par les co-rapporteuses.

 

Le premier est celui d’informer et de sensibiliser le milieu parlementaire, les médias et l’opinion publique sur les questions d’actualité liées à la santé des femmes et des enfants. 

 

Et je tiens à préciser que nos actions ont visé tant la dimension nationale, que la responsabilité qu’incombe à la Roumanie, en vertu du nouveau statut de pays donneur d’aide. Dans ce contexte, nous avons mis en évidence les bénéfices d’une coopération pour le développement qui soit orientée davantage vers les soins de santé pour les femmes et les enfants.   

 

Le deuxième rôle que joue notre Sous-commission est celui de mobiliser toutes les parties prenantes - parlement, gouvernement, organisations de la société civile, milieux académiques et d’affaires, médias, organisations internationales – dans le but d’identifier les objectifs nationaux en matière de santé des femmes et des enfants et de convenir des mesures pour les atteindre, qu’il s’agisse de lois, de politiques, ou de stratégies.

 

C’est dans ce cadre que nous avons initié, sous l’égide du Sénat, un ample processus de consultations nationales, dont le résultat sera une nouvelle Stratégie nationale pour la santé reproductive et sexuelle, pour les suivantes quatre années.

 

Parmi les priorités arrêtées dans la stratégie, je peux mentionner, à titre d’exemple, la mise en place d’un système de soins de santé communautaires, centré sur les besoins de la femme enceinte et de l’enfant, en particulier de ceux appartenant à des groupes vulnérables.

 

Le troisième rôle de la Sous-commission est celui de relier l’action parlementaire au bénéfice de la santé des femmes et des enfants avec les démarches similaires des autres parlements, des forums parlementaires spécialisés, des organisations telles que le Fonds des Nations Unies pour la Population ou l’UNICEF, tout en assurant la cohérence des politiques et des programmes nationaux avec les objectifs européens et internationaux en la matière.

 

Pour conclure, il est important – je crois – pour un parlement de se munir d’une structure spécialisée, chargée à promouvoir la santé des femmes et des enfants comme thème prioritaire de l’agenda parlementaire et publique.  

 

Je vous remercie.